mercredi 25 janvier 2017

Les dérivées (110-112)

110
les doigts &
le nez ocrés
d'écoulement
pourritures/
limon confit
vers de vase
vase de vert
les tiges de
dahlia puent
dans l'herbe
prurigineuse
du cimetière
111
accent grave
des pompiers
funèbres/les
prêtres vont
sortir bille
en tête/mais
le mammifère
ordinaire se
fait tracter
pieds devant
bien heureux
confortable/
112
être allongé
sur la ronde
bosse de son
ventre enflé
dans le doux
capitonnage/
le cul collé
au couvercle
du cercueil/
prêt à péter
au jour béni
du jugement/


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posted by Lucien Suel at 08:50