samedi 31 mai 2014

Il pleut ou il fait beau... (15)

Dans imper il y a mes manches, au bout des bras
mes mains dépassent et sont toujours là et à se pâmer
en intérieur de soie, à remuer en poches. C'est agaçant !
L'épisode du rideau tiré ferme est trop flou pour marquer :
il y a le moment où il est, n'est pas
tiré ; celui où il vibre à l'approche d'une main
qui saisit ; le moment long et flou d'où est tirée
la période où les plis lourds rebondissent entre eux puis moins ;
celui où il devient immobile puis ne bouge plus, depuis longtemps.
En plus j'accumule les nuages, les signes de pluie apparaissent
quand je relève mon col d'imper, un ciel de traîne
m'envahit tout le derrière, surtout les coudes et les triceps
à cause des poches que j'habite en doublure de soie.
à suivre...
« Il pleut ou il fait beau tout le temps au début », un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
ce texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute ressemblance, y compris en URSS.

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vendredi 30 mai 2014

Poème express n° 354

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jeudi 29 mai 2014

LA FATIGUE DES SENS par Hélène Leflaive 8


Une envie de mordre l’envahissait.
Il aurait bien frappé quelqu’un
ou serré son cou très fort entre ses mains.
Il inventait dans sa tête des scenarii
où il commençait par interpeller brutalement
un de ses collègues.
Puis il lâchait toutes ses rancœurs
dans une démonstration brillante et précise.
Il finissait par en venir aux mains
et le secouer violemment,
ponctuant chaque syllabe par des mouvements secs.
Son discours se concluait par un coup de tête au visage.
Et il restait là à le regarder se tordre et gémir.


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mercredi 28 mai 2014

Colonnes dénudées (13)

CAMÉRALE DÉBÂCLE

Jadis, pouvant, je sus.
Ainsi, sachant, je pus.
Alors, lâchant, je fus.

Douloureusement rampant
vers la porte, j'avance
sur le carrelage froid,
les linges à mes genoux
épongeant les traînées.

Je hisse contre le bois
la masse turbide de mon
corps aqueux déhiscent.

Membres écartés, appuis
précaires, -les mollets
parfois spasmodiquement
vibrent- j'ouvre grande
la bouche contre le mur
fibreux et l'anneau des
lèvres, hermétiquement-
ce caoutchouc de bocal-
emprisonne le hurlement
qui, montant du ventre,
gonfle les joues, tasse
la langue et se déchire
dans ma gorge meurtrie.

Pendant que les festons
de salive glissent doux
sur le placage, je sors
avec lenteur ma langue,
goûtant l'amertume dans
les orifices creusés là
par les vers. La sciure
s'amalgame en boulettes
dans les interstices de
ma dentition lacunaire.

Mes mains tâtonnent. La
peau des paumes se fend
aux échardes. Je frappe
du pied et du poing sur
un rythme binaire, mais
le tonus musculaire des
jambes s'amoindrit. Mes
ongles griffent le bois
mouillé. Agenouillé sur
la céramique visqueuse,
je plaque mon oreille à
la verticale du panneau
végétal. Seul, le pouls
capricant du temporal y
résonne laborieusement.

Dans le trou noir de la
serrure, mon regard use
l'énergie dernière sans
parvenir à percer l'air
opaque qui se referme à
l'extrémité du tronc de
cône où mon oeil saisit
uniquement les lumières
internes et fluctuantes
issues de ma propre âme
déliquescente. Je cerne
le vide étoilé. Aspirée
vers le bas, mon humeur
abonde en nausées âcres
et fumantes. Glissando.

Mon habitacle se réduit
aux dimensions du drap.
Impossible da capo. Mes
narines captent l'odeur
abominable de l'espèce.

Chute. Zéro égale zéro.
Dedans ou dehors, idem.

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mardi 27 mai 2014

CURM n° 34

CURM (Cut-Up Ready-Made) est composé de 23 tweets consécutifs apparus dans ma Tweet List à un moment donné, copiés collés en éliminant les avatars et noms des abonnés, les liens et hashtags. Une expérience de twittérature mécanique.

CURM n°34
(19/05/2014)
Je ne me mêlerai pas aux transis. Encore hier il faisait chaud. Qu'on me dise le contraire. Résiste, laisse aller la foule. The 2000 photographic events of the Agenda | Et pendant ce temps, Coluche arrive à un gala céleste. 1925 Rolls Royce Phantom carrosserie massillon. Capables et incapables. 2017 était le véritable enjeu de 2012 par bernard stiegler. Métro en suspens métro pas reparti Métro même pas beau ! Sacrifice de la sagesse pour 9 nuits, par Odhinn aux bords des mondes : Réenchantement I.11. Going home :-) « il n'y a pas d'interstices, il ne peut y en avoir... » Claude Louis-Combet, L'origine du cérémonial. Un grand pas pour l'exosquelette. Europe: "triste mystère d’un continent qui ne s’aimait pas..." édito Michel Dommage, la défaite de J'ai cru à un cinquième set... Jimmy Page and Robert Plant: how we made Led Zeppelin III Pfff c'est malin maintenant j'ai envie de faire des tweets en oubliant mots pour recevoir des DM de jolies twittas. 4 victoires 3 défaites Encore 7 matchs de 1er tour pour les tricolores pour le match à venir de Cité de la musique Live - Les Siècles, François-Xavier Roth, Gautier Capuçon : Henri Dutilleux, Ludw... | Merci pour le relais des morales élémentaires ! Les spatialités dans l’œuvre d'Hannah Arendt par BDebarbieux +++ ah. Se così fosse a loro resterebbe mafia e ndrangheta. Bell'affare. Fatti una risata, Rob. Per i cretini non esiste cura. Par la porte entrouverte, on distinguait le coin d'une cabine de douche au beau milieu du salon. La petite couverture sous la selle. Le napperon sous le vase. Le patin sous le meuble. Le tapis sous la souris. J'ai rendez-vous avec une pianiste sous la pluie.

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lundi 26 mai 2014

John M Bennett Poème visuel

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samedi 24 mai 2014

Il pleut ou il fait beau... (14)

« Par des cumulonimbus – et ne crois pas que c'est moi
qui les ai dans le crâne. Je suis entrée en pièce
au moment où tu tirais rideaux, j'étais toute en pluie
après dehors dans ma robe blanche (n'oublie pas que vêtement
jeté en perroquet m'a été prêté par un homme courtois
qui sortait d'ascenseur, et que pointes de mes seins dardaient
déjà sous la robe, mes voluptés charnues sous le blanc détrempé,
que mouillée au-dessus des souffleries robe n'a pas fait tapage ;
ça colle aux cuisses, c'est froid, tu crois ça agréable ?).
Malgré ma deuxième peau glacée de tissu fin j'ai vu
le flou que tu tirais des rideaux puis les fameux cumulonimbus
qui m'avaient transportée jusque là, je les ai vus là
après le flou et dans la lumière, les mêmes nuages bas,
et après le coup foireux du cinéma avorté tu me soupçonnes !
J'ai le sentiment d'arriver après risée d'une bande
de mecs et d'être couverte entière de leur sperme froid.
Ça colle aux cuisses, le corps est figé en gelée blanche.
Voilà pourquoi j'aime Manacoa, ses palmiers ; soleil brique ma peau ».
à suivre...
« Il pleut ou il fait beau tout le temps au début », un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
ce texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute ressemblance, y compris en URSS.

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vendredi 23 mai 2014

Poème express n° 352

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jeudi 22 mai 2014

LA FATIGUE DES SENS par Hélène Leflaive 7

Il avait appris un secret.
Comme souvent dans les secrets,
il était question d’un attouchement sexuel sur mineur.
On lui avait demandé de ne rien faire,
juste de garder cette confidence.
Il n’y avait pas grand-chose à faire,
seulement attendre que les choses refassent surface
avec plus ou moins de fracas.

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mercredi 21 mai 2014

Colonnes dénudées (12)

TRACES ROUGES

5.AURICULAIRE.

En dépit d'un
syndrome pur,
canonisation,
lacération et
ivresse, elle
ne manquait à
aucun moment,
d'une infecte
religiosité à
l'air sombre,
rauque et pas
drôle du pain
angélique des
lead guitars.

Vous aimez la
beauté et les
casques. Vous
combinez maux
et merveilles
dans vos vils
intérieurs de
charcuterie à
répandre avec
un vermifuge.

Le miaulement
du chat reste
la rare joie.

Je vidais mon
regard, crevé
d'égout, seul
à sourire aux
lèvres molles
de la putain.

Je peux humer
la surface du
soulier, mais
suis inhabile
à dénouer les
liens vocaux.

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mardi 20 mai 2014

CURM n° 33

CURM (Cut-Up Ready-Made) est composé de 23 tweets consécutifs apparus dans ma Tweet List à un moment donné, copiés collés en éliminant les avatars et noms des abonnés, les liens et hashtags. Une expérience de twittérature mécanique.

CURM n°33
(19/05/2014)


Sinon, à quoi bon les courants. Elle réprimanda un sourire à grand peine. Que le vent t'ouvre. "Une plainte retranchée dans une capsule de plainte." Et si Icare n'était pas tombé ? En 1893, Paul Giniety imagine une suite au célèbre roman L'Homme à l'oreille cassée. Il en reprend les… Le corps et ses doubles. Que le vent te donne rage. 18h54, l'heure de l'apéro approche... I love that translation! "Arriving from always, you'll go away everywhere" Rimbaud trans Ashbery from Illuminations. Ai eu aujourd'hui un élève en sandalettes et chaussettes noires . Fallait que j'en parle. Enfin vous me direz, il a épargné le bâtiment. Minimum salarial dans les différents pays d'Europe. May 2014 Author Earnings Report – Author Earnings | Ça donne ça. Et c'est excellent.Vous ne pouvez même pas imaginer. Essayez ! Cerises kiwis brugnons olives à la grecque sucre roux (un peu) et plein de jus de citron. Pour des amendements + protecteurs pour les femmes et les enfants victimes de violences PPL Chaud L’Odyssée du Non-Conscient Cognitif. Le non-conscient englobe un vaste ensemble de processus, en particulier moteurs, qui échappent au contrôle actif de la conscience. Le signe de la dernière minute, le signe qui dure, le signe qui se perd, que l'on oublie, que l'on retrouve, le signe que l'on n'espère plus. Mariage 297 - Entre un tweet de et un tweet de L'amour est une magnifique catastrophe. Savoir que l'on fonce dans un mur, et accélérer quand même. Expliquer le second degré à un enfant de 4 ans montre bien que ce concept est complètement débile.

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samedi 17 mai 2014

Il pleut ou il fait beau... (13)

Sur le point de mettre le doigt dans un engrenage redoutable :
le temps. S'il faut regarder la météo avant la mission
ça devient invivable, on met doigt dedans et corps s'étire.
Et l'homme, le type, ignore ce qu'il y a
à l'autre bout du corps. Trop d'inconnu en mission
rend mission fragile et fragilise toute émission, et sur le corps :
qu'est-ce qui se passe quand ça s'étire comme ça ?
Tendre vers le réveil un bras et rencontrer le baromètre dressé,
pointé sur nuage bas ; je jette les draps qui s'envolent
et cours vers la fenêtre, là je tire un rideau, déjà
mes mains ont glissé en poches d'imper trop vite enfilé.
Et à ce moment-là tu arrives, soudain tu entres en pièce.
« Pas du tout, ce n'était pas du tout ce jour-là !
car ce jour-là tu n'avais pas la lettre en main ».
Tiens, tiens... comment peut-on se souvenir de quelque chose – et surtout
de son absence – dont on ignorait l'existence. Tu as menti !
Cette lettre existe pour toi, tu as vu, comment vas-tu expliquer ?
à suivre...
« Il pleut ou il fait beau tout le temps au début », un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
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vendredi 16 mai 2014

Poème express n° 351

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jeudi 15 mai 2014

LA FATIGUE DES SENS par Hélène Leflaive 6


Il avait décidé
de se laisser devenir stupide.
Son esprit le portait progressivement vers l’idiotie.
Des idées curieuses et décalées lui venaient en tête,
particulièrement lors de conversations
avec des amis ou des collègues.
Il avait commencé par les réprimer,
mais maintenant il trouvait cela logique et naturel.
Alors il se mettait à dire des phrases sans aucun rapport
avec le sujet de la discussion,
des sortes de plaisanteries subtiles,
des rapprochements inédits.
Au lieu de rire, ses interlocuteurs
le regardaient sans rien dire
avec l’air de penser très fort à quelque chose.

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mercredi 14 mai 2014

Colonnes dénudées (11)

TRACES ROUGES
4. ANNULAIRE.

De race, soit
picarde, soit
pie frisonne,
voilà qui est
peu influent.

La soie frêle
qui habillait
la repasseuse
(cloque rouge
sur la paume,
éteinte grâce
à la pulpe de
pommes-frites
analgésiques)
la soie, dis-
je, révèle la
courbe intime
bien mouillée
(suée) du­ dos
si captivant.

J'aimais donc
m'étaler sous
le sujet. Les
êtres humains
se tendent au
flou du tronc
et du membre.

Je l'avais, à
vrai dire, au
coeur et bien
sûr, à grande
eau, ce sujet
dernier jour,
dernier cri à
l'usage caché
dans le coin.

Dehors, l'eau
brille sur le
silex ocellé.

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mardi 13 mai 2014

CURM n° 32

CURM (Cut-Up Ready-Made) est composé de 23 tweets consécutifs apparus dans ma Tweet List à un moment donné, copiés collés en éliminant les avatars et noms des abonnés, les liens et hashtags. Une expérience de twittérature mécanique.

CURM n°32
(07/05/2014)
Peut-on être sociologue et ignorer les origines de la sédentarité et de l’agriculture ? La polio est de retour, avec l'aide de la CIA, des terroristes et des dictateurs. Littérature, art et monde contemporain : récits, histoire, mémoire. L'examen de la loi sur le patrimoine pourrait être repoussé à 2015. Ce qui me surprend dans la folie du gluten free c'est qu'il n'y ait pas encore de Big Mac et de recette du Colonel sans gluten. L'amitié est la merveille de l'exigence. "Attention, si tu commences avec la musique, c'est pour la vie, tu ne pourras plus t'en passer." (Erik Orsenna) José Bové contre la PMA : il n'est pas seul à douter chez les écolos. Le compositeur Maurice Duruflé à côté du Panthéon décousu. Je connais quelqu'un qui a été augmenté ! Le maire de Longjumeau ; 2ème fois en 15 mois ; on n'est jamais mieux servi que par soi-même. J'ai emmené mon mille-pattes chez le pédicure, ça m'a coûté un bras ! Commencer la journée au bureau avec les Adolescents. Les Bricoleurs du dimanche : un mouvement «spontané» entièrement pipeauté eau-forte 2. Hécatombe des abeilles : un étonnant refus de savoir. Apparition des fenêtres de Pierre Ménard. Un projet d'écriture collaborative via smartphone en 2de pro : à lire pour réfuter les préjugés. Les œuvres complètes et lettres de Rousseau en numérique. La pluie >>> les gens qui font le pont du 8 mai. Demain tu reprendras l'ouvrage demain tu feras le travail d'écriture d'ici là savoure face à l'onde le bonheur simple d'accueillir les mots. Eau-forte 13. Riens –13. Ça pousse - disparition à la fenêtre des grilles du palais de justice. Beauté rare ✤ - photo by Harry Eggens.

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lundi 12 mai 2014

Gros bouquet de liens


En janvier, dans le cadre des Vases communicants, Christine Jeanney et moi avons tous deux écrit à notre amie Mauricette Beaussart. Voici la lettre de Christine au Silo et la mienne sur le site Tentatives avec les commentaires chaleureux de ses ami(e)s  et notamment celui de Marc V. sur le blog Main Tenant.

Encore des Vases communicants avec Gnoir sur l’idée d’un poème de la taille d’un timbre-poste. Les miens ici  et le sien au Silo

Autre collaboration, un poème écrit à partir d’une image grattée de Thomas Dejeammes, pour son projet Dream Drum sur le site Libr-critique.

Participation au projet de la revue Archimou, n° 1 sur le thème « Limaces et coulis » avec pour support des ballons de baudruche. Voici le sommaire du n°1 et mon projet « Lost Slugs » qui se présente comme un spin-off (série dérivée) de LOST (Les Disparus).

L’intégralité de mon texte sur Bernanos, « L’enfant de Fressin », paru dans l’ouvrage Balades en Pas-de Calais sur les pas des écrivains (éditions Alexandrines, 2006 ) est à lire sur Stalker, le site de Juan Asensio

Mon livre « D’azur et d’acier », écrit en résidence à Fives, trouve une nouvelle actualité en étant le point de départ du projet « Les murs ont des voix » , une application sonore pour téléphone mobile mise en place par Book d’oreille  et  les éditions La Contre allée  avec ma participation et celle du musicien improvisateur David Beausseron. Des échos après l’emploi de l’application sur le blog Même les sorcières lisent  et sur le blog de l’association lilloise Lille aux livres ici  et Ce travail a été présenté dans le cadre d’Urbanités numériques par le laboratoire universitaire Geriico à la Maison folie de Lille Moulins. Voici  ma lecture performance extraite de la vidéo du colloque et présentée sur le site de Tapin2.
 
Des nouvelles critiques à propos de mes deux dernières parutions Je suis debout et Le lapin mystique :
1. Sur Remue net par Jacques Josse  
2. Sur le blog Barbotages, « Hauts ciels de Lucien Suel » l’article de Monsieuye Am Lepiq avec « Ambulant Panthéon » (extrait de Je suis debout). 
3. Sur le blog Poebzine « Lucien Suel au meilleur de sa forme », l’article de François-Xavier Farine.
A quoi s’ajoutent pour Je suis debout : La note de lecture de Jean-Pascal Dubost sur Poezibao,  et pour Le lapin mystique, l’article de Rémy Leboissetier sur le blog du Lièvre lunaire.

Concernant d’autres ouvrages : « L’auteur prend de la bouteille », dans Eulalie, un article de Marie-Laure Fréchet sur Flacons, flasques, fioles…,  un article de Pierre-Marie Thiévenaud sur Mort d’un jardinier (avec des recettes de cuisine) sur le blog Le Wagges.

Diaporama-souvenir de mon intervention à la Médiathèque de Saint Jean de Monts en compagnie de Guénaël Boutouillet (en fond sonore un extrait de ma lecture de Patismit).
 
Après le festival POEMA, lire le compte-rendu de Jean-René Lassalle sur Poézibao  et « La poésie, c’est dehors », un hommage d’Ana NB au Jardin sauvage

Pour terminer, ne manquez pas de visiter avec la langue, les yeux et les oreilles « Poétiquement incorrect », le site officiel de Jean-Pierre Bobillot

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