jeudi 27 novembre 2008

Le vertige du jardinier

C'est le titre de l'article de Robert Solé à propos de "Mort d'un jardinier" dans le journal "Le Monde" du 28 novembre 2008.

Ajout du lendemain : article de Jacques Josse sur le site Remue-net, accompagné d'un extrait du roman (chapitre 2).

Ajout du 10 décembre : "Un roman rythmique", article de Patrice Houseau sur Le Blog Littéraire et "Une vie une oeuvre", article de Jacques Barbaut sur Sitaudis.

Tous les autres liens concernant "Mort d'un jardinier" : ICI.


Libellés : ,

posted by Lucien Suel at 14:23 1 comments

mercredi 26 novembre 2008

Dans les semelles de Rimbaud

Ci-dessous, un extrait d'une conversation enregistrée en mai 1996 chez Alfonsina Vandenbeulque et retranscrite par nos soins.
(Ajouté le 11-1-11 : Cette conversation apparaît dans le roman "La patience de Mauricette")

"- Ah ça, intervint la mère, elle a toujours aimé la lecture. Quand elle était petite, on pouvait crier cinq fois « A table ! » avant qu'elle s'arrête pour poser son livre et venir manger, et même en mangeant, elle continuait à lire. Elle lisait les étiquettes des bouteilles et des paquets.
- Oui mais ce que je préférais quand même, c'était de la poésie. J'en avais appris par coeur à l'école et au collège. J'aimais bien Emile Verhaeren, Albert Samain et Paul Verlaine. Et puis, au collège, le professeur de français nous avait raconté la vie de Verlaine et de son ami Arthur Rimbaud. Je m'en souvenais, et un jour dans la librairie sur la place d'Armentières, j'ai trouvé un livre de poche bleu clair avec les poésies de Rimbaud. Ah, il y avait des trucs culottés là-dedans mais ça me plaisait, même si je ne comprenais pas tout. Alors je me suis dit que moi aussi j'allais écrire des poèmes. Et voilà une chose qui m'a vraiment fait du bien.
- Et vous écriviez quel genre de poèmes ?
- Eh bien, justement, des poèmes comme Rimbaud. C'est à dire, j'en choisissais un que j'aimais bien, par exemple Ma Bohême, et je le recopiais. Alors sur la page d'en face, j'écrivais le mien pour lui ressembler, comme Mes Troènes, vous voyez. C'était comme si je marchais dans les chaussures de Rimbaud."

Silo vous présente aujourd'hui un autre poème d'Alfonsina Vandenbeulque :

QU'ON SONNE

B boum, G Grr, P prout, F ffuit, D ding : qu'on sonne,
Je dirai quelque jour vos essences patentes :
B, bibelot aboli boum boum du big bang
Qui bombine autour des blockhaus et les bétonne,

Grognements gris, G, gorges graviers grimaçants,
Grumes des glaviots verts, gros, gras, grr, ça grisonne ;
P, papa, pan pan prout, pue la pute piétonne
Dans le purin ou la paresse pénitente ;

F, ffuit, fébrile fissure du fût facile,
Follet des feux fourrés d'amis mots, fruits des fils
Que la chimie imprimait aux fesses des filles ;

D, divin diapason plein des strideurs des anges,
Dimanches diguedonguant où Dieu se dérange
- D dodo, D qu'on sonne, Dieu ! Dieu ! God ! God ! Godille !

Libellés : ,

posted by Lucien Suel at 16:07 3 comments

dimanche 23 novembre 2008

Ici venus de partout

blosneblosne
noms croisés
------------
la verticale

les gens les
humains dans
les murs des
maisons avec
le plan sous
leurs yeux à
l'aplomb des
regards vers
la terre les
mots croisés

l'horizontal

ils sont ici

debout venus
de partout à
l'ouest nord
devenu ouest
ou sud venus
de l'est des
montagnes de
la plaine de
l'artois des
provinces de
france venus
de bourgogne
de la savoie
picardie île
de-france de
lorraine des
flandres des
pays proches
ou lointains
du maroc des
antilles des
andes et des
balkans puis
de l'afrique
mali sénégal
congo-brazza
ils sont ici
venus encore
d'espagne du
portugal des
montagnes du
laos du pays
hmong encore
des collines
afghanes des
4 kurdistans
d'albanie de
l'algérie de
turquie tous
ils sont ici
ici place de monténégro-----tous arrivés-----ici square de slovaquie
ici allée d'estramadure-----plantés dans-----promenade d'algarve ici
ici square de macédoine-----le blosne un-----allée de la maritza ici
ici avenue des pays-bas-----monde humain-----ici square de poméranie
ici condate en bretagne-----blosneblosne-----ici carré de saxe cours
de bohême ici square de-----blosneblosne-----transylvanie ici avenue
d'italie boulevard du portugal suzanne place du landrel boulevard de
bulgarie allée de croatie ludovic boulevard de yougoslavie chemin du
landrel solange rue de hongrie boulevard des hautes ourmes square du
cormier square de bosnie bosquets slaves jeux dalmates antoine allée
du danube jardin de l'escalier germain jardins dinariques square des
grisons villa de moravie armelle square de nimègue square de galicie

maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici

passage slovène yasmina parc des hautes ourmes allée de moravie parc
des balkans monique chemin de torigné rue de la néva rue de la dvina

ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant

rue de riga chemin d'herzégovine mohamed jardins de spolète allée de
la drave place de serbie thierry place de torigné cours d'arnhem rue
du lac ladoga bernard place du banat rue de dantzig rue de la pilica

maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici

rue des tatras chemin des dardanelles martine jardins slovènes allée
de cracovie rue de lettonie étienne rue de la volga square du niemen
ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant
square de sétubal olivier rue du lac onega place de prague chemin de
moldavie rue de lublin josette square de lettonie square de bragance

maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici

avenue de pologne rue de la tisza allée de varsovie fatmata allée de
lithuanie rue de roumanie josiane square de varsovie place de zagreb

ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant

square d'estonie yannick rue de posnanie jardin de la binquenais rue
de la lysagora cours de lisbonne chemin de lausanne chafika allée de
lucerne allée de vilna pauline rue de corinthe allée du gacet rue de
la warta square du douro avenue de grèce hussein allée de tilsit rue
de delphes allée de genève radovan square de sofia rue d'arcadie rue
de salamine juanita rue de crète place de la baltique allée de berne

maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici

rue de cracovie rue des carpates norbert avenue de la vistule rue du
parnasse charles rue d'athènes rue de marathon italie galicie prague
landrel banat moravie volga torigné rennes bretagne europe une terre

ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant ici ici ici maintenant

Poème écrit en 2001 à Rennes dans le quartier du Blosne.
Version filmée en public ici.

Libellés : , ,

posted by Lucien Suel at 10:57 0 comments

jeudi 20 novembre 2008

Je suis un poète français

La parution du premier volume des "Oeuvres" de Christophe Tarkos m'incite à reproduire ci-dessous le texte d'une enquête initiée par Jean-Marc Baillieu...
Et ma réponse à cette enquête sous forme de photographie...

« Je suis un poète français »
( 1 )
Christophe Tarkos écrivit :
« Je suis un poète français. Je travaille pour la France. Je travaille à la France. J’écris en français. Je serai un poète de la France. J’écris en langue française. La langue française est le peuple français. Il n’y a pas de peuple de France sans la langue de France. La langue de la France n’existe qu’à travers ses poètes. La langue est une langue quand elle est une langue vivante, le poète vivifie la langue, rend la langue vivante, elle est vivante, elle est belle. Le peuple français se définit d’abord par le peuple qui parle français. Le peuple français parle français grâce à ses poètes qui vivifient sa langue. Le poète sauve la langue, sauve le peuple, sauve la France. Le poète qui sera reconnu patrimoine national de la nation, je suis français, j’appartiens au patrimoine national de la France. Je suis un poète de la France. » ( Facial, n°1, 1999)

- Tiendriez-vous ce discours ? Pourquoi ?
( 2 )
L’implication institutionnelle dans le domaine de la poésie en France (aides, bourses, subventions du CNL et des CRL aux poètes, éditeurs, libraires, organisateurs de manifestations) et à l’étranger (missions Stendhal, lectures via les Instituts culturels français) fait-elle de vous, si et quand vous en bénéficiez, un acteur, un rouage d’une politique étatique de promotion de la francophonie et de la culture française ?

Portrait du Poète en Français

Libellés : ,

posted by Lucien Suel at 15:05 2 comments

samedi 15 novembre 2008

Le sang du don

Vient de paraître, aux éditions Derrière la salle de bains, sous la direction de Marie-Laure Dagoit

Le sang du don
Scénario

A - INTERIEUR NUIT

1. - GROS PLAN : la photo d'identité d'un homme, visage allongé, teint pâle, lèvres serrées, regard sombre, oreilles effilées, crâne dégarni - on aperçoit les deux rivets en diagonale sur la photo ainsi que les extrémités pointues des canines supérieures aux commissures des lèvres - la pointe d'un crayon apparaît dans le champ et vient modifier la photo - les dents s'effacent - le visage paraît presque "normal", si l'on excepte le teint blafard....
2. - LA CAMERA RECULE - le document apparaît dans son entier - "CARTE NATIONALE DE DONNEUR DE SANG BENEVOLE - GROUPE O+" - la carte est libellée au nom de M. RAKULA
3. - NOUVEAU RECUL DE LA CAMERA - une main aux ongles très longs et recourbés place une feuille de lettres-transferts sur la carte et entreprend d'y marquer les lettres du prénom... D.o.n.a.t.i.e.n.
4. - PLAN FIXE SUR LA CARTE TERMINEE
5. - PLAN D'ENSEMBLE DE LA PIECE - murs nus et blancs - éclairage par la lampe de bureau - table et chaise - personnage vu de dos assis à la table - cape noire sur les épaules, oreilles effilées, crâne dégarni - on le voit chiffonner un papier qu'il jette dans la corbeille, sous la table - on devine qu'il plie la carte et qu'il la glisse dans sa poche de poitrine - FONDU AU NOIR
(VARIANTE POSSIBLE : on peut modifier cette séquence en lui donnant une forme plus moderne, adaptée à la technologie actuelle - le personnage utilise un ordinateur et un logiciel de traitement d'image, style Photoshop pour effectuer ses manipulations)

B - EXTERIEUR JOUR

Le parking de la Salle des Fêtes d'une petite ville ouvrière - allées et venues entre les portes battantes de la Salle des Fêtes et le parking - des voitures qui se garent, d'autres qui partent - en haut de l'escalier, au fronton de la salle, une grande banderole, lettres rouges sur fond blanc : DON DU SANG, de 9h à 12h et de 14h à 18h - sur le parking, un gros camion blanc, marqué des lettres C.R.T.S. - à côté, l'autocar du personnel médical
1. - PANORAMIQUE, de l'entrée de la Salle des Fêtes vers le parking - léger ARRET CAMERA sur le camion, permettant de lire : "Centre Régional de Transfusion Sanguine". Puis, suite du panoramique vers l'entrée de la place où apparaît, marchant d'un pas lent, le personnage de la séquence précédente, reconnaissable à sa cape et à son crâne chauve...
2. - ZOOM AVANT RAPIDE sur le visage de Donatien Rakula - CUT

C- INTERIEUR JOUR FIN D'APRES-MIDI

Dans la Salle des Fêtes, la piste de danse est occupée par les installations du C.R.T.S. - lits pliants mécaniques surélevés, tables roulantes chargées de matériel médical, rideaux sur tringles, boxes pour les visites médicales, fichiers, buffet, tables de restauration, portemanteaux démontables sur roulettes - Dans le fond de la salle : la scène - le grand rideau rouge est baissé - dans le mur de gauche, une porte qui donne sur l'extérieur - à gauche de la scène, l'accès aux toilettes, aux coulisses et au vestiaire.
1. - CAMERA EN PLONGEE, PLAN D'ENSEMBLE VU D'EN HAUT - toutes les couchettes sont occupées - va-et-vient des infirmiers et des infirmières en blouse blanche qui collent des étiquettes sur les flacons de prélèvements, enfoncent des aiguilles, mettent en marche des agitateurs, empilent les sachets de sang - les employés du C.R.T.S. en bleu, transportent les sachets pour les stocker dans le camion isotherme - ils sortent à gauche et reviennent les bras chargés d'autres cartons, alimentant les différents points de prélèvements en sachets vides, pansements, boîtes de coton - les boxes où officient les médecins, prise de tension, interrogatoire médical - les donneurs et les donneuses qui font la queue devant les boxes, puis à l'entrée de l'espace où sont installées les couchettes, attendant que se libère un emplacement - les tables de restauration où sont assis ceux qui ont donné, buvant de la bière, du café, du jus de fruit - les déplacements des serveuses qui apportent petits pains, cornichons, gâteau-tartine et confiture...
à suivre...
dans l'ouvrage paru aux Editions Derrière la salle de bains
ou à l'adresse suivante :
Marie-Laure Dagoit, Derrière la Salle de Bains
9, rue Forfait
76100 Rouen
Prix de vente 7 € (+0,54 € de port)






Libellés : ,

posted by Lucien Suel at 07:57 1 comments

mercredi 12 novembre 2008

Mort d 'un jardinier (3)

Les lectrices & lecteurs de Silo me pardonneront, je l'espère, si je publie une nouvelle fois, une dernière fois, un article consacré à mon roman. Il s'agit de la première critique parue dans la presse "papier".
Un texte d'Alexandre Fillon dans Livres Hebdo n° 751, 24 octobre 2008.

La mort en ce jardin

Natif des Flandres artésiennes où il réside toujours, Lucien Suel a été l’éditeur de la revue The Starscrewer, consacrée à la poésie de la Beat Ge­neration, et Moue de veau, magazine «dada punk ». Suel qui anime la Station Underground d’émerveillement littéraire, avait déjà publié de nom­breux ouvrages de poésie.
Le voici qui passe à la fiction avec le formidable Mort d’un jardinier publié à La Table Ronde. Son héros souffre du genou droit, se sent rapidement fatigué, pense de plus en plus sou­vent à la mort. Dans son jardin en­touré de frênes où la taupe s'immisce entre les artichauts et les carottes, la terre rejette des cailloux, des si­lex et même parfois des balles. No­tre homme, qui a le crâne dégarni, des lunettes, utilise des gants de cuir et porte des chaussures de sécurité, connaît son affaire, la vie cachée des racines.
i! sait d'ailleurs que « les sureaux ont des racines chevelures de gorgone amassées en paquets, chignons merdiques à dénouer », que « le prunellier sauvage se plie à angle droit sous la terre, qu 'il change constamment de direction, qu'il dé­veloppe la même technique que les rejets des ormes », et sent toujours quand tombe le bon jour pour semer s’il veut récolter ra­dis et laitues.
Armé de sa bêche, prêt à bouter hors de chez lui les sournois mulots qui forent hypocritement carottes et bet­teraves rouges et les petites limaces noires auxquelles il pourrait donner de la bière pour qu'elles se noient, il se livre à un rituel immuable : « enfoncer soulever retourner enfoncer sou­lever retourner», sans utiliser le pied, à la force des bras, travaillant comme une machine un jardin en gestation qu'il faut surveiller quotidiennement.
Peu à peu, les souvenirs reviennent, les sensations remontent à la surface.
Superbe chant de vie porté par une écriture lyrique et tenue, Mort d'un jardinier est l'une des meilleures pousses de l'automne. ------------------- AL. F.
J'ajoute un lien vers un autre article publié ce jour sur le blog "Ces mots-là". (LS)
Tous les autres liens concernant "Mort d'un jardinier" : ICI.

Libellés :

posted by Lucien Suel at 16:46 2 comments

lundi 10 novembre 2008

Novembre

Les tombes (inédit, extrait)
(photo, Josiane Suel ; poème, Lucien Suel)

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
+ La mort frappe parfois les morts sur +
+ leurs lieux de repos Un éclat d’obus +
+ qui cisaille le bras du crucifix Une +
+ bombe qui exhume des cercueils brise +
+ les marbres Là sur la table cimentée +
+ une fausse infusion de chrysanthèmes +
+ en plastique refroidit sous la pluie +
+ La terre avale le sang des hommes et +
+ l’eau du ciel Le béton se fractionne +
+ redevient sable + gravier + ciment + +
+ eau Les morts veulent sortir s’aérer +
+ Ils croient que c’est l’aurore de la +
+ résurrection comme les escargots qui +
+ sortent la tête de la coquille si on +
+ les mouille La déception est cruelle +
+ La plupart des morts ont été oubliés +
+ définitivement oubliés car les temps +
+ anciens n’ont conservé que les morts +
+ célèbres + Les regrets sont éternels +
+ comme la croissance est illimitée le +
+ progrès infini avec un développement +
+ durable La déréliction est naturelle +
+ Les profanateurs complotent dans les +
+ cimetières Ici les vandales agissent +
+ Les inscriptions s’effacent Les noms +
+ pâlissent et les lignées s’éteignent +
+ Les lettres se détachent tombent une +
+ à une comme feuilles mortes ou comme +
+ squames ou pelage Les noms des morts +
+ s’effacent sous la gomme de la pluie +
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Libellés : , ,

posted by Lucien Suel at 07:49 3 comments

vendredi 7 novembre 2008

Mort d 'un jardinier (2)


Lire le reportage de Florence Trocmé sur la présentation de "Mort d'un Jardinier" à Paris au Divan. C'est ici.
Notes ajoutées quelques jours plus tard par Benoît Moreau.
Un autre compte-rendu de la soirée au Divan, par Thomas Riquet, sur "Actu-Libria".

Lire les premières chroniques parues sur le net :

par Nathria dans "Parfum de livres"
par Philippe Boisnard dans "Libr-critique"
par Philippe Billé dans son "Journal documentaire"
parP/Z dans "Ruines circulaires"
Quelques réactions de lecteurs blogueurs
Sur le MySpace de "Discobabel"
Nicolas Bokov : "Nouvelles und News"
Nicolas Bokov (en russe) : "Livejournal"
Romain Verger cite un extrait : "Ailleurs ici presque sans sommeil"
Tous les autres liens concernant "Mort d'un jardinier" : ICI.

Libellés : ,

posted by Lucien Suel at 17:37 0 comments

dimanche 2 novembre 2008

Mort d 'un jardinier (1)

Jour des Morts

J’ai écrit mon roman « Mort d’un jardinier » entre octobre & décembre 2006, loin d’imaginer qu’après de nombreuses pérégrinations, mon manuscrit, envoyé par la poste, susciterait un grand intérêt chez Alice Déon & Françoise de Maulde, respectivement Directrice Générale & Directrice Littéraire des Editions de La Table Ronde.
Deux ans après le point final, « Mort d’un jardinier » sera en librairie le 6 novembre 2008. Ce jour-là, j’aurai le plaisir d’en lire des extraits au Divan. Lectrices & lecteurs de Silo, je serai heureux de vous rencontrer à cette occasion. Vous êtes invités.

Tous les autres liens concernant "Mort d'un jardinier" : ICI.

Libellés :

posted by Lucien Suel at 12:00 0 comments